Dix ans après le vote de la France devant les Nations unies en faveur des droits collectifs et individuels des autochtones, les « premières nations » se disent toujours victimes, en Guyane, de « discriminations » et de « marginalisation ».
« Comment faire valoir notre regard sur la forêt par rapport au regard français ? », s’interroge auprès de l’AFP, James Panapuy, chef de la délégation « Oyapock » au Parc amazonien de ...
Abonnez vous et Connectez-vous pour lire l'article complet.