Déjà largement victime de l’exploitation illégale de ses ressources sur terre, la Guyane l’est aussi en mer, avec la présence de navires brésiliens, surinamiens et vénézuéliens au large des côtes du département.
Dans l’avenir, le potentiel halieutique des eaux guyanaises fait aussi craindre une arrivée de flottilles chinoises, selon un récent rapport sénatorial.
C’est à l’issue d’une visite de terrain au mois de décembre que ...
Abonnez vous et Connectez-vous pour lire l'article complet.