Depuis le samedi 12, ils ont choisi de réouvrir symboliquement leurs portes pour protester contre un arrêté préfectoral qu’ils jugent injuste.
Les gérants de commerces non-essentiels n’en peuvent plus, épaulés par des élus et plusieurs organisations, ils demandent une réouverture pure et simple, sous peine de disparaître. Plusieurs rencontres étaient prévues à la préfecture.
« On a ouvert nos commerces de façon symbolique, mais on ...
Abonnez vous et Connectez-vous pour lire l'article complet.