À moins d’un mois de la démission effective, prévue début juillet, de 17 des 25 médecins urgentistes du Centre Hospitalier Andrée Rosemon (CHAR) de Cayenne, praticiens et direction peinent à trouver les moyens de sortir de la crise.
Il y a une véritable souffrance », reconnaît un des urgentistes non démissionnaires qui a requis l’anonymat. Solidaire de ses collègues, il « ne comprend pas leur ...
Abonnez vous et Connectez-vous pour lire l'article complet.